Entreprise et vivant
Vers une adaptation radicale de nos organisations
La question est tranchée : poursuivre les modèles économiques actuels sans transformation nous mène droit dans une impasse. Les entreprises ont longtemps évolué dans un monde où la nature était perçue comme une ressource infinie, exploitée sans contrainte. Pourtant, elles ne sont pas des entités isolées : elles dépendent du vivant, interagissent avec lui, et doivent aujourd’hui repenser leur relation avec leur environnement pour assurer leur propre pérennité.
Alors que nous faisons face à une crise écologique majeure, comment les entreprises peuvent-elles se réinventer ? Comment repenser leur modèle pour naviguer entre le présent et un futur incertain ?
La question est tranchée : poursuivre les modèles économiques actuels sans transformation nous mène droit dans une impasse. Les entreprises ont longtemps évolué dans un monde où la nature était perçue comme une ressource infinie, exploitée sans contrainte. Pourtant, elles ne sont pas des entités isolées : elles dépendent du vivant, interagissent avec lui, et doivent aujourd’hui repenser leur relation avec leur environnement pour assurer leur propre pérennité.
Alors que nous faisons face à une crise écologique majeure, comment les entreprises peuvent-elles se réinventer ? Comment repenser leur modèle pour naviguer entre le présent et un futur incertain ?
4 SCENARII
Le temps des propriétaires-terres : Et si demain le vivant n’était qu’un gisement au profit des new big corp ?
Le temps des bioequity : Et si demain le vivant était l’actionnaire majoritaire des new big corp ?
Le temps des datalchimistes : Et si demain les new big corp décidaient de se passer du vivant ?
Le temps des greenpreneurs : Et si demain la protection du vivant faisait partie du business des new big corp?
Samir Senbat
Fixeur de la ruche «Sentinelle49»
Mon entreprise adopte un modèle d’organisation du travail appelé́ les « ruches ». Dans ce système, des collectifs travaillent en autonomie sur divers projets, facilitant une collaboration étroite et une communication fluide. J’occupe le rôle de fixeur au sein de mon collectif. Je gère les flux de travail entrants et sortants de la ruche, s’assurant que chacun est bien positionné pour mener à bien ses projets. Ce rôle est crucial pour la cohésion et l’efficacité́ du groupe, mais il est également temporaire, changeant de mains tous les trois ans pour permettre à d’autres de développer ces compétences clés.
Samir Senbat
Fixeur de la ruche «Sentinelle49»
Mon entreprise adopte un modèle d’organisation du travail appelé́ les « ruches ». Dans ce système, des collectifs travaillent en autonomie sur divers projets, facilitant une collaboration étroite et une communication fluide. J’occupe le rôle de fixeur au sein de mon collectif. Je gère les flux de travail entrants et sortants de la ruche, s’assurant que chacun est bien positionné pour mener à bien ses projets. Ce rôle est crucial pour la cohésion et l’efficacité́ du groupe, mais il est également temporaire, changeant de mains tous les trois ans pour permettre à d’autres de développer ces compétences clés.
Samir Senbat
Fixeur de la ruche «Sentinelle49»
Mon entreprise adopte un modèle d’organisation du travail appelé́ les « ruches ». Dans ce système, des collectifs travaillent en autonomie sur divers projets, facilitant une collaboration étroite et une communication fluide. J’occupe le rôle de fixeur au sein de mon collectif. Je gère les flux de travail entrants et sortants de la ruche, s’assurant que chacun est bien positionné pour mener à bien ses projets. Ce rôle est crucial pour la cohésion et l’efficacité́ du groupe, mais il est également temporaire, changeant de mains tous les trois ans pour permettre à d’autres de développer ces compétences clés.
